vendredi 11 octobre 2013

QUELQUES POINTS ESSENTIELS DE LA COMMUNICATION



Evaluation de la communication

    Afin d’arriver à préciser si la communication a été efficiente et efficace, nous devons passer par les règles de l’écoute active qui sont :
  1.  Ecoutez ce que votre interlocuteur est entrain de dire ; 
  2. Confirmez si votre compréhension est correcte en respectant en d’autres termes ce que l’interlocuteur vient de dire « est-ce que vous voulez dire… » ;  
  3. Quand l’orateur a fini son discours, retenez les points essentiels et vérifiez cela auprès de lui ;  
  4. Si l’orateur est sous le coup de l’émotion (fâché ou triste), faites attention aux mots et non seulement à ses émotions ;  
  5. Demandez des éclaircissements pour voir si tout est bien compris ;  
  6. Posez des questions pour noter des sujets ou points que vous jugez essentiels etc.

   Il faudra aussi arriver à faire le monitoring des masses populaires c’est-à-dire qu’après qu’il y ait eu une communication, on pourrait repasser un temps bien déterminé pour voir si les masses populaires ont bien assimile et appliquent le message qui avait été transmis (conduite d’un monitoring : Micro-Baladeur-Observation Populaire).

Elaboration d’un plan de communication


            Qu’entendez-vous par un plan ?


   Un plan n’est rien d’autre un ensemble d’actions coordonnés visant à atteindre un objectif donné dans n’importe quel secteur de la vie courante.

   Sa mise en œuvre se fait à travers des programmes qui, à leur tour sont mis en œuvre à travers des projets.

  •  Une place de communication : est donc un plan visant à améliorer la communication au sein d’une entité ou d’une institution. 
  • La communication au sein d’une entité ou d’une institution porte sur l’échange d’information ou des messages entre les bénéficiaires c’est-à-dire la population et l’entité ou l’institution. 
  • Ce plan de communication doit être élaborer pour assurer la transparence des activités de l’entité ou de l’institution d’une part et la pression sociale de la population ou des masses populaires d’autre part.

   Les processus d’élaboration du plan de communication comprennent plusieurs étapes qui peuvent se résumer comme suit :

  • Organisation des ateliers au niveau intermédiaire c’est-à-dire au niveau périphérique (au niveau des organisations périphériques membres). 
  •  Organisation des ateliers au niveau intermédiaire central c’est-à-dire des animateurs.  
  • Organisation des ateliers au niveau central.  
  • Restitution des tracts élaborés au niveau périphériques et intermédiaires. 
  • Validation du Plan. 
  • Présentation du plan et défense à la hiérarchie et aux partenaires. 
  • Contenu d’un Plan de communication.

    Le Plan de communication doit comprendre les éléments suivants :

  1. Un exposé introductif sur l’institution ou l’organisation ou ce mouvement ;  
  2.  Une formulation de l’objectif global du Plan de communication ;
  3. Formulation ou énumération des objectifs spécifiques ; 
  4. Une détermination des résultats attendus ; 
  5. Une description des activités à mener ;  
  6. Un détail sur les moyens à utiliser (les intrants) ;  
  7. La prévision budgétaire ; 
  8. Le calendrier de déroulement des activités ; 
  9. Le suivi des activités ; 
  10. Le contrôle ou évaluation ; 
  11. La synthèse ;  
  12. Les différentes stratégies de mis en œuvre etc. 

samedi 28 septembre 2013

ORGANISATION ET CONDUITE DE LA COMMUNICATION



Une communication ne s’improvise pas et n’est pas dispensé de n’importe quelle manière c.-à-d. elle doit-être véridique et claire.
Il y a deux étapes à respecter scrupuleusement  c.-à-d. l’organisation et la conduite.

1er étape :l’organisation de la communication


Elle exige :
Ø  Le choix du thème du message ;
Ø  L’identification du groupe cible, sa nature et ses besoins ou problèmes ;
Ø  La connaissance du niveau du groupe cible ;
Ø  La maitrise du sujet du point de vue technique ;
Ø  La préparation du thème que l’on va exploiter ;
Ø  La précision et la concision de ce que le groupe cible doit absolument retenir après la communication (Powerpoint) ;
Ø  Le choix du lieu de rencontre, la date et le moment ;
Ø  La préparation du lieu de rencontre ;
Ø  La préparation des outils de communication et d’autres intrants.

2ème étape :la conduite de la communication


Comme toute manifestation, la communication demande aussi un respect dans sa présentation ou réalisation.
Il faut :
Ø  Accueillir les participants ;
Ø  Mettre à l’aise les participants ;
Ø  Introduire le thème ou le sujet ;
Ø  Faire participer les récepteurs en fonction de la technique choisie ;
Ø  Donner la parole aux groupes cibles pour poser des questions ;
Ø  Faire la synthèse de ce qui a été dit lors de la manifestation…

Stone R.M

jeudi 12 septembre 2013

ORIGINE DE L'UNIVERS :

Y A-T-IL UN « AVANT » DE L'ESPACE
ET DU TEMPS ?
 
PEUT-ON SIMPLEMENT COMPRENDRE L'UNIVERS,
compte-tenu que le BIG BANG est un pis-aller, un cache-misère auquel personne n'a jamais vraiment cru ?
Evidemment la question des origines a toujours été mal posée. S'interroger sur l'origine de l'univers c'est déjà faire une hypothèse invérifiable : « l'univers aurait une origine ». Et faire des hypothèses invérifiables n'est pas scientifique. Ce n'est pas par des équations ou des théories, encore moins par des observations, qu'on vérifiera comment l'univers s'est créé. Vérifier une hypothèse c'est la vérifier effectivement. Et de toute façon, observer le comment n'est pas comprendre le pourquoi. ET C'EST LE POURQUOI qui interroge l'homme en fait. Même si, par renoncement, beaucoup se contentent du « comment ».

Il s'ensuit de cette impossible vérification dans le passé (même si par d'autres hypothèses invérifiées et très contestables on prétend qu'on peut observer le passé en regardant très loin) que l'épistémologie de la Physique n'est pas valide dans le cas de l'univers. Si le mystère est resté entier de ce côté, c'est par attachement à des prétendues « lois » dont on ne se pose même pas la question de l'origine. Autant dire qu'on pourrait tout autant les appeler « Dieu ».

Ne pas poser la question de l'univers en termes d'ORIGINE passée n'est pas pour autant renoncer. Au contraire. C'est avoir une exigence de rigueur scientifique. Il faut s'interroger en termes de CAUSE.

Cela n'a rien à voir. La cause d'un fait n'est pas dans le passé. Elle est dans le présent. Sinon le fait n'est pas. A cause passée, effet passé. Vous pouvez penser que votre présent est le fait de causes passées. Mais c'est encore un hypothèse non-scientifique dont vous n'avez et n'aurez aucune preuve.

Mais penser que la cause est contemporaine à l'effet est-ce davantage scientifique ?

Oui, dans la mesure où cela s'appuie sur une évidence vérifiable : IL N'Y A QUE L'INSTANT PRESENT. Personne ne peut exhiber ni passé ni futur. Un squelette de dinosaure, c'est du présent. Irrémédiablement. Etre scienc'est s'en tenir aux faits, et quoi que j'observe, l'univers par exemple, c'est dans le présent que je l'observe. Toute autre hypothèse est invérifiable et donc non scientifique. S'il y a cause, s'il y a effet, tout cela ne peut être que présent.

On va voir si se poser la question en ces termes est fécond ou pas. Vous voulez jouer le jeu ? En fait personne n'avait jamais essayé.


La vérité

                                             La vérité

Étymologie

Ce mot vient du latin « Veritas » qui veut dire : la vérité, le vrai, la réalité.
La vérité est la relation adéquate de la pensée avec le réel. ST THOMAS

Cette relation a plusieurs dimensions :

    1. Vérité pratique du monde familier, pré-scientifique
    2. Vérité scientifique de la science positive
    3. Vérité philosophique
    4. Vérité révélée

I. Vérité du monde familier, pré-scientifique : vérité pratique. C’est notre manière habituelle de voir le monde.
Ex : J’appelle chaud ce dont la proximité occasionne en moi une impression de chaleur ; j’entends par chaise un objet pour s’asseoir…

II. Vérité des sciences objectives ou positives, qui repose sur la vérification expérimentale de l’hypothèse scientifique.
Par conséquent, il est important de remarquer que certains côtés de la réalité et, partant, certains problèmes, échappent par définition à la recherche scientifique positive.

III. Vérité philosophique, qui s’appuie sur l’expérience également, mais sur l’expérience au sens le plus large et le plus enveloppant du mot : expérience de mon existence comme subjectivité incarnée (être-en-situation).
C’est ce qui explique que la philosophie…

… se présente comme un retour au concret,
… qu’elle opère les synthèses les plus hautes,
… qu’elle pose les questions dernières : Que sommes-nous ? Que vaut la vie en fin de compte ? Quel est le sens de la vie ? Quelle est l’origine première de l’univers ? Quel est le sens dernier ? Quelle est la valeur de la vie humaine ? Que représente la dignité de la personne humaine ? Quel est le sens de la liberté ? Quel est le fondement dernier de la morale ?

IV. Vérité religieuse qui nous ouvre au mystère du Dieu vivant : vérité révélée.
La vérité philosophique ne prétend pas non plus élucider d’une manière exhaustive le mystère de l’existence humaine et de l’univers qui nous porte. C’est une donnée de la foi en la personne du Christ.

                  "Aucune religion ne peut être supérieure à la vérité"
Stone R.M

mercredi 21 août 2013

Article de l'éveil


L’article que nous vous  présentons à présent  est l’un de sujets importants  tiré d’un ouvrage collectif   intitulé : «Choisir la Joie de Sayana Roman ».
Nombreux entre vous se posera la question à savoir : Quel  est le but qui nous a  motivé pour mettre  ceci à  votre disposition ? C’est juste pour vous interpeler et réveiller votre conscience afin que vous ayez  la connaissance sur certaines  choses que vous ignorez parfois.

Sujet : l’Art de cultiver l’amour de soi

Il existe maintes façons de pratiquer l’amour de soi et chaque événement est l’occasion de vous aimer. En fait, tout peut vous donner l’occasion de vous aimer. Lorsque tout semble être contre vous, ce n’est que pour mieux vous montrer les pouvoirs dont vous disposez. Je suis sûr que si je vous demandais de faire la liste de ce que vous aimeriez faire, elle serait longue. Il se peut qu’une partie de vous-même vous rappelle que vous ne la mettrez pas à pied d’œuvre, et la bataille intérieure commence. Cette guerre intérieure, qui peut vous épuiser et vous induire en erreur, n’est pas la meilleure façon d’utiliser votre énergie.
Cultiver l’amour de soi signifie s’accepter tel que l’on est ici et maintenant
Il n’existe pas d’exception à cet énoncé; il s’agit de passer un accord avec vous-même pour apprécier, valider, accepter et soutenir ce que vous êtes en ce moment. Cela signifie vivre dans le moment présent. Beaucoup d’entre vous regardent vers le passé avec regret, revoyant comment ils auraient pu maîtriser certaines situations avec plus d’élévation, imaginant que s’ils avaient fait ceci ou cela, les choses auraient mieux tourné. Certains d’entre vous regardent vers l’avenir afin d’invalider l’être qu’ils sont dans le présent. Le passé peut vous aider si vous vous souvenez des moments de succès, créant alors une mémoire positive; le futur peut être votre ami si vous visualisez la prochaine étape. Ne vous culpabilisez pas de n’être pas encore parvenu à l’étape suivante. Il est très important de vous aimer tel que vous êtes au moment présent, sans réserve.
Cultiver l’amour de soi se situe au-delà de l’attachement et du détachement. Vous existez dans un corps physique et chacun d’entre vous possède un centre que vous appelez " Je ". Ce " Je " vous a été donné afin de vous séparer du grand tout pour vous permettre d’expérimenter une particularité de l’être. Le bagage des expériences que vous avez faites jusqu’à ce jour représente l’enseignement pour lequel vous êtes né. Que vous le qualifiez de bon ou mauvais, il compose votre être, votre unicité et votre but. Si vous pouviez être à ma place, vous vous verriez comme un cristal aux multiples facettes. Chacun d’entre vous est complètement différent des autres : une combinaison unique d’énergie. Chacun de vous est beau, spécial, original, comme l’est chaque cristal. Vous réfléchissez la lumière de façon particulière ; de même, votre aura est différente de celle des autres. Si vous pouviez apprécier votre unicité et prendre conscience que le chemin que vous avez choisi est différent de tous les autres chemins, il vous serait plus facile de vous détacher des autres points de vue et de suivre votre propre guidance.
Une des façons de vous aimer davantage consiste à ne plus vous comparer aux autres. Bien que vous soyez une partie du tout, vous êtes aussi un individu ayant son chemin propre. Les systèmes de croyance de votre ethnie ou de votre famille, que vous avez assimilés comme vôtres, peuvent être un obstacle à cet amour de soi. Vous avez peut-être entendu ceci : " Tout le monde dit qu’il est bon de méditer " ; alors, vous vous culpabilisez de ne pas méditer. Le défi de l’amour de soi est au-delà de tout ce qui vous a été dit. Aussi, posez-vous la question : " Est-ce que cela me convient? Est-ce que cela m’apporte de la joie? Est-ce que je me sens bien lorsque je médite? " . Seule votre expérience personnelle compte.
La tentation est grande de faire d’une autre personne, ou même d’une chose comme un livre, une autorité et de mettre à l’extérieur de vous-même la capacité de juger de ce qui est bon pour vous. Vous retirerez d’immenses bienfaits à être en présence de maîtres, mais seulement pour apprendre à recevoir les informations et à évoluer par vous-même. Je suis là pour ouvrir les portes ; je ne veux pas prendre votre pouvoir, mais plutôt vous le restituer. Lorsque vous êtes en présence d’un maître ou auprès de toute personne à laquelle vous conférez une certaine autorité dans votre vie, et cela peut être un ami, questionnez et écoutez avec beaucoup d’attention ce qu’il ou elle dit. Vous pouvez prendre ses affirmations pour la vérité et il est important de vous demander si ce qu’il ou elle dit est vrai uniquement pour lui ou elle, ou si cela voua convient à vous aussi.
Cultiver l’Amour de Soi c’est se libérer de la culpabilité
Cette société est lourde de culpabilité. La plupart des rapports entre les êtres émanent du plexus solaire, centre de pouvoir, à partir duquel chacun peut se persuader, se convaincre, se contrôler et manipuler. Aimer le Soi signifie sortir de ce genre de relations. À cette fin, vous aurez soin de vous affranchir de la culpabilité.
Si vous ne jouez pas le même jeu que ceux qui vous entourent, vous pouvez percevoir qu’ils se sentent trahis. Ils veulent que vous pensiez ou agissiez conformément à leurs images ; aussi tentent-ils de prendre pouvoir sur vous par la culpabilisation. Bien souvent, les parents ne connaissent pas d’autres moyens de contrôler les situations ; ils utilisent la culpabilisation, la colère et privent leurs enfants de leur amour afin de les dominer. Lorsque vous vous sentez fort et responsable de votre vie, vous pouvez être centré sur votre cœur. Lorsque vous manquez d’assurance, vous pouvez ressentir le besoin de manipuler et d’engager des luttes de pouvoir afin d’obtenir ce que vous désirez. Vous pouvez aussi penser que vous devez des excuses pour votre comportement, ou que vous devez mentir pour protéger la susceptibilité des autres personnes.
En agissant ainsi, vous ne vous aimez pas ; au contraire, vous envoyez à votre subconscient le message que vous n’êtes pas assez bien ou que les autres ne peuvent pas vous accepter tel que vous êtes. Si vous désirez être libre, il est important de ne pas manipuler les autres, mais de leur donner la liberté. Au début, vous aurez peut-être l’impression d’avoir perdu un peu de votre contrôle si vous permettez aux autres de faire ce qu’ils désirent de leur vie. Mais vous créerez, entre vous et les autres, un nouveau seuil d’honnêteté et d’amour, qui serait irréalisable si vous n’aviez pas votre courage et ce désir d’abandonner tout contrôle.
Vous pouvez apprendre à être détaché de la réaction des autres personnes et de vos propres émotions, si elles vous éloignent de votre centre de sérénité et de clarté. S’aimer soi-même signifie s’affirmer avec compassion. Lorsque vous êtes disposé à vous montrer aux autres tels que vous êtes, vous permettez aux autres de se montrer aussi tels qu’ils sont. Les jugements représentent des obstacles à l’amour de soi. Chaque fois que vous jugez, vous séparez. Lorsque vous exprimez certaines opinions sur les autres, lorsque vous dite en regardant une personne : " Cette personne semble paresseuse, nulle, et porte des vêtements minables ", vous créez le message dans votre subconscient que ce monde est un endroit où il est préférable d’agir d’une certaine manière pour être accepté. En rejetant les autres par vos jugements, vous imprimez dans votre subconscient le message que vous ne pouvez pas être accepté que dans certaines conditions. Cela mène tout droit à un dialogue intérieur d’auto-critique. Cela peut vous attirer beaucoup d’images négatives en provenance du monde extérieur, parce qu’en émettant ces images, vous avez créé un chemin qui leur permet de revenir droit sur vous.
Regardez les messages que vous envoyez aux autres personnes ; les acceptez-vous avec un cœur plein d’amour, sans les critiquer, ne les rabaisser? Est-ce que vous leur souriez? Les considérez-vous comme des amis, leur permettez-vous de se sentir en accord avec eux-mêmes, ou les ignorez-vous complètement? Si vous les acceptez, même télépathiquement (c’est-à-dire dans votre esprit), vous les aidez à rencontrer leur être supérieur. Vous constaterez alors que les autres personnes vous acceptent avec plus d’amour.
(Rédigé par le collectif des êtres extraordinaires)