samedi 28 septembre 2013

ORGANISATION ET CONDUITE DE LA COMMUNICATION



Une communication ne s’improvise pas et n’est pas dispensé de n’importe quelle manière c.-à-d. elle doit-être véridique et claire.
Il y a deux étapes à respecter scrupuleusement  c.-à-d. l’organisation et la conduite.

1er étape :l’organisation de la communication


Elle exige :
Ø  Le choix du thème du message ;
Ø  L’identification du groupe cible, sa nature et ses besoins ou problèmes ;
Ø  La connaissance du niveau du groupe cible ;
Ø  La maitrise du sujet du point de vue technique ;
Ø  La préparation du thème que l’on va exploiter ;
Ø  La précision et la concision de ce que le groupe cible doit absolument retenir après la communication (Powerpoint) ;
Ø  Le choix du lieu de rencontre, la date et le moment ;
Ø  La préparation du lieu de rencontre ;
Ø  La préparation des outils de communication et d’autres intrants.

2ème étape :la conduite de la communication


Comme toute manifestation, la communication demande aussi un respect dans sa présentation ou réalisation.
Il faut :
Ø  Accueillir les participants ;
Ø  Mettre à l’aise les participants ;
Ø  Introduire le thème ou le sujet ;
Ø  Faire participer les récepteurs en fonction de la technique choisie ;
Ø  Donner la parole aux groupes cibles pour poser des questions ;
Ø  Faire la synthèse de ce qui a été dit lors de la manifestation…

Stone R.M

jeudi 12 septembre 2013

ORIGINE DE L'UNIVERS :

Y A-T-IL UN « AVANT » DE L'ESPACE
ET DU TEMPS ?
 
PEUT-ON SIMPLEMENT COMPRENDRE L'UNIVERS,
compte-tenu que le BIG BANG est un pis-aller, un cache-misère auquel personne n'a jamais vraiment cru ?
Evidemment la question des origines a toujours été mal posée. S'interroger sur l'origine de l'univers c'est déjà faire une hypothèse invérifiable : « l'univers aurait une origine ». Et faire des hypothèses invérifiables n'est pas scientifique. Ce n'est pas par des équations ou des théories, encore moins par des observations, qu'on vérifiera comment l'univers s'est créé. Vérifier une hypothèse c'est la vérifier effectivement. Et de toute façon, observer le comment n'est pas comprendre le pourquoi. ET C'EST LE POURQUOI qui interroge l'homme en fait. Même si, par renoncement, beaucoup se contentent du « comment ».

Il s'ensuit de cette impossible vérification dans le passé (même si par d'autres hypothèses invérifiées et très contestables on prétend qu'on peut observer le passé en regardant très loin) que l'épistémologie de la Physique n'est pas valide dans le cas de l'univers. Si le mystère est resté entier de ce côté, c'est par attachement à des prétendues « lois » dont on ne se pose même pas la question de l'origine. Autant dire qu'on pourrait tout autant les appeler « Dieu ».

Ne pas poser la question de l'univers en termes d'ORIGINE passée n'est pas pour autant renoncer. Au contraire. C'est avoir une exigence de rigueur scientifique. Il faut s'interroger en termes de CAUSE.

Cela n'a rien à voir. La cause d'un fait n'est pas dans le passé. Elle est dans le présent. Sinon le fait n'est pas. A cause passée, effet passé. Vous pouvez penser que votre présent est le fait de causes passées. Mais c'est encore un hypothèse non-scientifique dont vous n'avez et n'aurez aucune preuve.

Mais penser que la cause est contemporaine à l'effet est-ce davantage scientifique ?

Oui, dans la mesure où cela s'appuie sur une évidence vérifiable : IL N'Y A QUE L'INSTANT PRESENT. Personne ne peut exhiber ni passé ni futur. Un squelette de dinosaure, c'est du présent. Irrémédiablement. Etre scienc'est s'en tenir aux faits, et quoi que j'observe, l'univers par exemple, c'est dans le présent que je l'observe. Toute autre hypothèse est invérifiable et donc non scientifique. S'il y a cause, s'il y a effet, tout cela ne peut être que présent.

On va voir si se poser la question en ces termes est fécond ou pas. Vous voulez jouer le jeu ? En fait personne n'avait jamais essayé.


La vérité

                                             La vérité

Étymologie

Ce mot vient du latin « Veritas » qui veut dire : la vérité, le vrai, la réalité.
La vérité est la relation adéquate de la pensée avec le réel. ST THOMAS

Cette relation a plusieurs dimensions :

    1. Vérité pratique du monde familier, pré-scientifique
    2. Vérité scientifique de la science positive
    3. Vérité philosophique
    4. Vérité révélée

I. Vérité du monde familier, pré-scientifique : vérité pratique. C’est notre manière habituelle de voir le monde.
Ex : J’appelle chaud ce dont la proximité occasionne en moi une impression de chaleur ; j’entends par chaise un objet pour s’asseoir…

II. Vérité des sciences objectives ou positives, qui repose sur la vérification expérimentale de l’hypothèse scientifique.
Par conséquent, il est important de remarquer que certains côtés de la réalité et, partant, certains problèmes, échappent par définition à la recherche scientifique positive.

III. Vérité philosophique, qui s’appuie sur l’expérience également, mais sur l’expérience au sens le plus large et le plus enveloppant du mot : expérience de mon existence comme subjectivité incarnée (être-en-situation).
C’est ce qui explique que la philosophie…

… se présente comme un retour au concret,
… qu’elle opère les synthèses les plus hautes,
… qu’elle pose les questions dernières : Que sommes-nous ? Que vaut la vie en fin de compte ? Quel est le sens de la vie ? Quelle est l’origine première de l’univers ? Quel est le sens dernier ? Quelle est la valeur de la vie humaine ? Que représente la dignité de la personne humaine ? Quel est le sens de la liberté ? Quel est le fondement dernier de la morale ?

IV. Vérité religieuse qui nous ouvre au mystère du Dieu vivant : vérité révélée.
La vérité philosophique ne prétend pas non plus élucider d’une manière exhaustive le mystère de l’existence humaine et de l’univers qui nous porte. C’est une donnée de la foi en la personne du Christ.

                  "Aucune religion ne peut être supérieure à la vérité"
Stone R.M